Stress et chute de cheveux : comprendre le lien et agir efficacement
Le stress fait partie des causes les plus fréquentes de la chute de cheveux réactionnelle. Pression professionnelle, rythme de vie intense, manque de sommeil ou choc émotionnel : tous ces facteurs fragilisent le cycle capillaire et entraînent une perte diffuse et soudaine.
Contrairement à la chute androgénétique, progressive et liée à des facteurs génétiques, la chute due au stress est réversible. En identifiant ses mécanismes et en adoptant une approche adaptée, il est possible de relancer la repousse.
Comment le stress agit-il sur les cheveux ?
Le rôle du cortisol
En situation de stress, le corps produit davantage de cortisol, l’hormone du stress. À forte dose et sur la durée, le cortisol perturbe plusieurs fonctions de l’organisme, dont le cycle pilaire.
- Il accélère le passage des cheveux en phase télogène (chute).
- Il réduit la durée de la phase anagène (croissance).
- Il fragilise les follicules, ce qui entraîne une chute diffuse et impressionnante.
L’effluvium télogène lié au stress
L’effluvium télogène désigne une chute soudaine où jusqu’à 30 % des cheveux passent prématurément en phase de chute. Dans le cas du stress, cette perte apparaît généralement 3 mois après l’épisode déclencheur (examen, deuil, séparation, surcharge de travail).
Comment reconnaître une chute de cheveux liée au stress ?
Les signes typiques incluent :
- Une perte diffuse sur l’ensemble du cuir chevelu.
- Une chute massive sur la brosse, l’oreiller ou sous la douche.
- Une chevelure qui s’affine, sans zones dégarnies localisées.
- Une repousse visible de petits cheveux fins au bout de quelques semaines.
Facteurs aggravants associés au stress
Le stress ne survient jamais seul. Il est souvent accompagné d’autres déséquilibres qui accentuent la chute :
- Manque de sommeil chronique.
- Fatigue générale et baisse d’immunité.
- Carences nutritionnelles (fer, zinc, vitamines du groupe B).
- Prise de médicaments ou variations hormonales.
Solutions pour limiter la chute de cheveux liée au stress
Gestion du stress
- Pratiquer une activité physique douce (yoga, marche, natation).
- Mettre en place des techniques de relaxation (respiration, méditation).
- Améliorer la qualité du sommeil (rituels réguliers, environnement apaisant).
Nutrition adaptée
Une alimentation équilibrée aide à compenser l’impact du stress sur l’organisme.
- Protéines : pour la production de kératine.
- Fer et zinc : essentiels pour la repousse.
- Vitamines B et C : soutiennent l’énergie cellulaire et l’oxygénation.
Cure nutritionnelle 90 jours
Pour accompagner la repousse après une chute réactionnelle liée au stress, une cure régulière est conseillée.
La Cure Glia 90 jours associe Moringa Oleifera, biotine, zinc et vitamines essentielles. Elle aide à soutenir le cycle capillaire sur la durée et à relancer une repousse progressive.
Soins externes
En parallèle, des soins capillaires doux peuvent protéger la fibre :
- Sérum nutrition à appliquer sur le cuir chevelu.
- Masque fortifiant hebdomadaire.
- Éviter les lissages répétés, colorations agressives ou chaleur excessive.
Témoignages et retours
Plusieurs utilisatrices témoignent avoir constaté une amélioration après avoir intégré une cure régulière et une meilleure gestion du stress. Les retours soulignent notamment :
- Une diminution progressive de la chute après quelques semaines.
- L’apparition de petits cheveux fins en repousse.
- Une chevelure plus résistante et plus brillante.
Notre engagement qualité
Chez Glia Paris, nous sélectionnons uniquement du Moringa issu de cultures biologiques contrôlées. Nos feuilles de Moringa sont séchées à basse température pour préserver tous leurs nutriments, puis réduites en poudre fine pour une biodisponibilité optimale.
Chaque lot est soumis à des contrôles qualité rigoureux pour garantir l'absence de contaminants et la concentration en principes actifs.
FAQ – Stress et chute de cheveux
Oui, elle est généralement temporaire. La repousse reprend dès que l’équilibre est rétabli.
Elle s’étend en moyenne sur 3 à 6 mois, avec un pic 3 mois après l’épisode stressant.
Oui, si la chute se prolonge au-delà de 6 mois ou s’accompagne de symptômes associés (fatigue extrême, ongles cassants).
Elle s’intègre dans une approche globale (alimentation, sommeil, gestion du stress).
Le stress est un facteur déclencheur majeur
Le stress est un facteur déclencheur majeur de la chute de cheveux réactionnelle. Il agit par le biais du cortisol et entraîne un effluvium télogène soudain mais réversible.
En agissant simultanément sur la gestion du stress, la nutrition et une cure régulière, il est possible de relancer le cycle pilaire et de retrouver une chevelure plus forte.
